"Lire un livre, c'est comme recevoir une lettre d'amour!"
Ce mot d'enfant était lancé par une fillette de 5 ans samedi dernier alors que j'animais le conte de Pâques pour les enfants de ma bibliothèque.
Les enfants ne cesseront jamais de m'étonner.
Que de sagesse et de vérité dans cette petite phrase...
À bien y penser, c'est vrai qu'écrire un livre, c'est écrire une lettre d'amour parce que c'est le meilleur de soi que l'on y met. J'en sais quelque chose, j'en ai écrit deux et je suis à écrire le troisième sur la thématique "Aider un parent malade sans le devenir soi-même".
Un autre sage dont je ne me souviens plus du nom disait:
"Tu auras réussi ta vie si tu as fait un enfant, planté un arbre ou écrit un livre!"
Voilà trois belles façons de laisser sa trace pour les générations futures.
Lire un livre, c'est aussi avoir un ami à ses côtés. Un ami qui nous parle de sa passion, qui nous livre son expérience de vie, qui nous fait voyager dans son imaginaire et qui stimule le nôtre, qui nous fait rire parfois, un ami qui nous enseigne des choses, qui nous fait réfléchir sur nous-même.
Un livre, c'est un ami discret que l'on consulte et de qui l'on se rapproche selon notre humeur du moment.
Il ne fait pas de cas de notre allure ou du lieu où l'on est en sa compagnie.
Un livre c'est une personne que l'on rencontre dans son intimité, c'est une personne qui nous livre un petit coin de son âme...
J'adore les livres: ils m'ont aidé à vivre, parfois à survivre et ont toujours contribuer à enrichir ma vie . J'entends vous faire partager mes coups de coeur régulièrement!
Et pour vous, qu'est-ce que c'est un livre?
dimanche 28 mars 2010
"Lire un livre, c'est comme recevoir une lettre d'amour!"
lundi 22 mars 2010
Le ménage du printemps
C'est une femme qui revient à la maison avec les cendres de son mari après la cérémonie funèbre. Elle les jette sur le tapis , sort la balayeuse et dit:
- Tiens-toi c'est la dernière fois que je te ramasse!
Cette histoire me fait beaucoup rire et comme vous le savez, je suis moi-même en processus du deuil de ma mère actuellement et tout processus de deuil qui se respecte et qui est bien fait passe nécessairement par du ménage intérieur et par ricochet extérieur!
À la suite d'une bonne indigestion nocturne, je me suis engagée dans un jeûne depuis jeudi dernier. Dès le lendemain, j'ai été prise d'une rage de ménage! Alors là pas à peu près! Moi qui n'ai jamais lavé un mur de ma vie, (n'allez pas croire que je ne suis pas propre, mais ce que je ne vois pas ne me dérange pas...) je me suis surprise à laver les murs et les recoins d'armoires avec une énergie incroyable. Le jeûne est très propice à cela pour moi, contrairement à certaines croyances qui disent que l'on s'y affaiblit... Moi ça m'énergise de faire le vide...
Et là tu découvres des objets dont tu n'as plus besoin...Bon je sais, à tous les ans je me débarrasse de ce qui n'a pas servi depuis un an, particulièrement dans les vêtements et les médicaments passés date pour faire de la place à du neuf. . Mais là je parle d'objets que l'on gardait pour des raisons sentimentales: une photo de mariage de la soeur de votre ex, un vieux bibelot que vous avez créé il y a dix ans mais qui ne tient plus la route, ce collier que vous acheté en vacances mais que vous n'avez finalement jamais porté et ce placement financier qui finalement n'a pas livré la marchandise...Outch! La liste peut s'allonger autant que vous êtes un "ramasseux" ou une "ramasseuse". Mais vous savez quoi? Il est tellement important de faire ce ménage extérieur car il favorise en même temps le ménage intérieur...et libère des énergies nouvelles. Vous voulez des preuves?
Devant des photos et des cadeaux reçus d'une ami(e) qui a choisi de se retirer de ma vie depuis presqu'un an sans aucune explication, je décide donc de me séparer des objets qui me relient à elle et par ricochet de faire un "lâcher prise". Croyez-le ou non, elle m'a téléphoné le lendemain. Et nous avons eu l'occasion de compléter ensemble. Je pourrais vous raconter des histoires semblables jusqu'à demain matin car je crois beaucoup au travail de deuil et de libération énergétique qui nous permettent ensuite de retrouver notre vitalité.
Faire le deuil ou le ménage de n'importe quoi est exigeant et n'est pas facile et de tout repos. Mais comme je l'explique dans mon livre "Rire et grandir", il est essentiel à faire pour se donner accès, au-delà du rire et du fun, à la Joie et à la Paix profonde auxquelles nous aspirons tous!
Si vous ne connaissez pas déjà le livre "Aimer, perdre et grandir" de Jean Montbourquette, courez vous le procurer immédiatement avec une bonne bouteille de M. Net! Ils font une équipe incroyable pour le ménage du printemps!
- Tiens-toi c'est la dernière fois que je te ramasse!
Cette histoire me fait beaucoup rire et comme vous le savez, je suis moi-même en processus du deuil de ma mère actuellement et tout processus de deuil qui se respecte et qui est bien fait passe nécessairement par du ménage intérieur et par ricochet extérieur!
À la suite d'une bonne indigestion nocturne, je me suis engagée dans un jeûne depuis jeudi dernier. Dès le lendemain, j'ai été prise d'une rage de ménage! Alors là pas à peu près! Moi qui n'ai jamais lavé un mur de ma vie, (n'allez pas croire que je ne suis pas propre, mais ce que je ne vois pas ne me dérange pas...) je me suis surprise à laver les murs et les recoins d'armoires avec une énergie incroyable. Le jeûne est très propice à cela pour moi, contrairement à certaines croyances qui disent que l'on s'y affaiblit... Moi ça m'énergise de faire le vide...
Et là tu découvres des objets dont tu n'as plus besoin...Bon je sais, à tous les ans je me débarrasse de ce qui n'a pas servi depuis un an, particulièrement dans les vêtements et les médicaments passés date pour faire de la place à du neuf. . Mais là je parle d'objets que l'on gardait pour des raisons sentimentales: une photo de mariage de la soeur de votre ex, un vieux bibelot que vous avez créé il y a dix ans mais qui ne tient plus la route, ce collier que vous acheté en vacances mais que vous n'avez finalement jamais porté et ce placement financier qui finalement n'a pas livré la marchandise...Outch! La liste peut s'allonger autant que vous êtes un "ramasseux" ou une "ramasseuse". Mais vous savez quoi? Il est tellement important de faire ce ménage extérieur car il favorise en même temps le ménage intérieur...et libère des énergies nouvelles. Vous voulez des preuves?
Devant des photos et des cadeaux reçus d'une ami(e) qui a choisi de se retirer de ma vie depuis presqu'un an sans aucune explication, je décide donc de me séparer des objets qui me relient à elle et par ricochet de faire un "lâcher prise". Croyez-le ou non, elle m'a téléphoné le lendemain. Et nous avons eu l'occasion de compléter ensemble. Je pourrais vous raconter des histoires semblables jusqu'à demain matin car je crois beaucoup au travail de deuil et de libération énergétique qui nous permettent ensuite de retrouver notre vitalité.
Faire le deuil ou le ménage de n'importe quoi est exigeant et n'est pas facile et de tout repos. Mais comme je l'explique dans mon livre "Rire et grandir", il est essentiel à faire pour se donner accès, au-delà du rire et du fun, à la Joie et à la Paix profonde auxquelles nous aspirons tous!
Si vous ne connaissez pas déjà le livre "Aimer, perdre et grandir" de Jean Montbourquette, courez vous le procurer immédiatement avec une bonne bouteille de M. Net! Ils font une équipe incroyable pour le ménage du printemps!
mardi 2 mars 2010
Capter l’attention du public pour que ça clique!
dimanche 21 février 2010
L'euthanasie....Pour ou contre?
À l'heure du vieillissement d'une grande partie de la population, le Québec et la planète toute entière, aux prises avec des choix budgétaires complexes, s'interroge sur la légalisation de l'euthanasie, La semaine dernière, lors du décès de ma mère, âgée de 90 ans, j'ai été placée devant cette situation. Ma mère avait depuis très longtemps fait un testament biologique notarié dans lequel elle spécifiait et je la cite:
"Si un rétablissement suffisant de mes capacités physiques et mentales était impossible, je demande qu'on ne me maintienne pas en vie par des moyens artificiels et disproportionnés. Je demande également que des médicaments appropriés me soient donnés pour soulager efficacement mes douleurs, même si cela devait hâter l'instant de ma mort, afin de me réserver une mort douce et naturelle.
Aussi ces directives sont données à ma fille Carole Miville, après mûre réflexion et en pleine lucidité. Je voudrais qu'elle se sente moralement obligée de les suivre."
Regardons maintenant ce qui s'est passé lors de son admission à l'hôpital alors qu'elle faisait un ACV.
Admise à l'urgence de l'hôpital, je la rejoins et je présente immédiatement le document en question avant que les médecins ne posent quelque geste que ce soit... Ma mère est toujours très lucide malgré le fait que son côté droit est complètement paralysé et qu'elle a perdu l'usage de la parole. Le médecin de l'urgence prend connaissance du document et lui assure qu'il respectera sa volonté. J'en profite pour lui demander si elle est toujours d'accord avec cette décision. Elle me fait signe que oui.
Le lendemain , alors qu'elle est transférée à l'étage, le médecin traitant vient me voir pour me demander ce que la famille attend d'elle. Je peux vous dire qu'à cet instant précis, j'ai craqué parce que, l'instant d'une seconde, sachant la fin imminente, j'ai cru devoir décider de la vie ou de la mort de ma mère. Mais je me suis souvenue de cette phrase où elle spécifiait que je devais me sentir moralement obligée de respecter son choix. Je ne la remercierai jamais assez d'avoir fait ce papier de la façon dont elle l'a fait, c.i.e. NOTARIÉ, assumant pleinement sa vie et sa façon de mourir, me délivrant ainsi de toute prise de décision la concernant sous le coup d'une forte émotion. Lorsque l'on est émotivement pris dans ces moments, on ne peut prévoir notre réaction ou celle des autres proches qui peuvent être très différentes les unes des autres. Ce n'est pas le temps d'avoir une "chicane de famille" sur la décision à prendre mais le temps d'être présent à la volonté de la personne concernée.
Il y a une grande différence entre l'euthanasie et les soins palliatifs dont ma mère a fait la demande.
Dans l'euthanasie active ( le malade demande à ce qu'une tierce personne lui injecte un produit pour éviter la souffrance et remet donc une certaine forme de responsabilité de sa mort dans les mains d'un tiers. Ce qui peut être très lourd ensuite à porter pour cette personne. Pareil pour le suicide assisté.
Partisane inconditionnelle de la liberté d'Être et de la prise en charge de sa vie à tous les niveaux, y compris au moment de sa mort, je serai éternellement reconnaissante à ma mère du courage dont elle a fait preuve en décidant de la façon dont elle voulait mourir et d'en avoir pris toute la responsabilité.
En terminant, je veux vous recommander un livre qui a nourri ma réflexion sur le sujet....
MOURIR DANS LA DIGNITÉ? Soins palliatifs ou suicide assisté, un choix de société
Sous la direction de Jean-Pierre Béland
Les presses de l'Université de Laval
"Si un rétablissement suffisant de mes capacités physiques et mentales était impossible, je demande qu'on ne me maintienne pas en vie par des moyens artificiels et disproportionnés. Je demande également que des médicaments appropriés me soient donnés pour soulager efficacement mes douleurs, même si cela devait hâter l'instant de ma mort, afin de me réserver une mort douce et naturelle.
Aussi ces directives sont données à ma fille Carole Miville, après mûre réflexion et en pleine lucidité. Je voudrais qu'elle se sente moralement obligée de les suivre."
Regardons maintenant ce qui s'est passé lors de son admission à l'hôpital alors qu'elle faisait un ACV.
Admise à l'urgence de l'hôpital, je la rejoins et je présente immédiatement le document en question avant que les médecins ne posent quelque geste que ce soit... Ma mère est toujours très lucide malgré le fait que son côté droit est complètement paralysé et qu'elle a perdu l'usage de la parole. Le médecin de l'urgence prend connaissance du document et lui assure qu'il respectera sa volonté. J'en profite pour lui demander si elle est toujours d'accord avec cette décision. Elle me fait signe que oui.
Le lendemain , alors qu'elle est transférée à l'étage, le médecin traitant vient me voir pour me demander ce que la famille attend d'elle. Je peux vous dire qu'à cet instant précis, j'ai craqué parce que, l'instant d'une seconde, sachant la fin imminente, j'ai cru devoir décider de la vie ou de la mort de ma mère. Mais je me suis souvenue de cette phrase où elle spécifiait que je devais me sentir moralement obligée de respecter son choix. Je ne la remercierai jamais assez d'avoir fait ce papier de la façon dont elle l'a fait, c.i.e. NOTARIÉ, assumant pleinement sa vie et sa façon de mourir, me délivrant ainsi de toute prise de décision la concernant sous le coup d'une forte émotion. Lorsque l'on est émotivement pris dans ces moments, on ne peut prévoir notre réaction ou celle des autres proches qui peuvent être très différentes les unes des autres. Ce n'est pas le temps d'avoir une "chicane de famille" sur la décision à prendre mais le temps d'être présent à la volonté de la personne concernée.
Il y a une grande différence entre l'euthanasie et les soins palliatifs dont ma mère a fait la demande.
Dans l'euthanasie active ( le malade demande à ce qu'une tierce personne lui injecte un produit pour éviter la souffrance et remet donc une certaine forme de responsabilité de sa mort dans les mains d'un tiers. Ce qui peut être très lourd ensuite à porter pour cette personne. Pareil pour le suicide assisté.
Partisane inconditionnelle de la liberté d'Être et de la prise en charge de sa vie à tous les niveaux, y compris au moment de sa mort, je serai éternellement reconnaissante à ma mère du courage dont elle a fait preuve en décidant de la façon dont elle voulait mourir et d'en avoir pris toute la responsabilité.
En terminant, je veux vous recommander un livre qui a nourri ma réflexion sur le sujet....
MOURIR DANS LA DIGNITÉ? Soins palliatifs ou suicide assisté, un choix de société
Sous la direction de Jean-Pierre Béland
Les presses de l'Université de Laval
dimanche 7 février 2010
L'Amour avec un grand "A"
En cette semaine précédant la St-Valentin où l'on nous sollicitera de partout pour acheter et promouvoir notre amour, j'aimerais vous amener ailleurs... Ailleurs que dans l'amour romantique, contre lequel je n'ai rien soit dit en passant, mais qui a ses limites...
J'aimerais vous amener dans la zone où l'on a de la difficulté à aimer.
La zone à l'intérieur de nous qu'il nous faut regarder, accueillir et nettoyer pour faire expansionner notre capacité à aimer.
Cette zone qui est rempli de chagrin, de peine, de déceptions et de désillusions face à l'amour. Cette zone, porteuse de mémoires émotives, qui nous conditionnent à répéter sans cesse et sans cesse les mêmes erreurs de parcours si nous ne la soignons pas convenablement. La zone en nous qui demande à être aimée et chouchoutée! On a souvent l'impression, à tort, que seul un homme ou une femme peut nous apporter de l'Amour.
Oui j'ai bien dit "À TORT".
Alors qu'il y a une place à l'intérieur de nous qui est une véritable usine à fabriquer de l'Amour, sans limite aucune! Une véritable usine qui travaille 24 heures sur 24 gratis!:-))
Mais comment faire pour y être employé?
Première erreur: vous n'y êtes pas employé...Vous êtes le patron! C'est vous qui décidez de la grosseur de production que vous désirez mettre dans votre usine à Amour! Chouette non?
Mais c'est pas parce que vous êtes patron que vous dirigez tout à votre guise sans consulter personne...
Dans cette aventure de développement d'usine à Amour, vous arriverez à un point où vous réaliserez que nous sommes tous inter-reliés et très dépendants les uns des autres . J'ai bien dit très DÉPENDANTS et RESPONSABLES les uns des autres car je suis bien tannée que l'on traite la dépendance comme une maladie en ce bas monde... Dans ce monde où l'individualisme est la norme pour la plupart d'entre nous, et j'en suis, il y a un moment où l'on doit réaliser que la pendule doit revenir en son centre.
Voyons voir si nous sommes si indépendants que cela...
Prenez simplement un verre d'eau que vous vous apprêtez à boire en pleine canicule et posez-vous les questions suivantes:
Qui a fabriqué ce verre?
Qui a fabriqué l'usine où l'on a fabriqué ce verre?
Qui a fabriqué les bureaux, les machines et toutes les composantes de cette usine?
Qui a livré ce verre dans un magasin?
Qui a fabriqué le véhicule qui a transporté ce verre en magasin?
Qui a produit l'essence et extrait le pétrole qui a permis à ce véhicule de livrer votre verre en magasin.
Qui tient ce magasin etc....
Il y a au moins 1000 personnes qui ont contribué à amener ce verre d'eau à vos lèvres en cette journée de canicule... Et on se croit indépendants... Faites-moi rire!:-))
Sans l'apport et le travail de tous ces gens, nous serions à sec en pleine canicule!
Nous sommes donc beaucoup plus dépendants que nous ne le croyons et il est temps de le réaliser!
Pareil pour l'amour à deux! Chaque personne qui entre dans notre vie est une opportunité de se regarder, de s'accueillir, de se chouchouter l'un et l'autre bien sûr, mais aussi soi-même face à soi-même car si l'autre vient qu'à partir, nous aurons quand même découvert, apprivoisé et aimé une partie supplémentaire de notre Être. Et l'autre ne peut pas partir avec cela car c'est à l'intérieur de nous! L'autre nous permet simplement de mettre à jour la ressemblance, le rêve commun que l'on partage et qui demandait à être considéré et actualisé dans notre propre vie.
Si l'autre est là pour continuer, tant mieux! Mais s'il part, nous sommes la personne responsable de soigner, nourrir la partie de soi ou le rêve mis à jour. Et c'est là qu'il est important de développer notre propre usine à Amour!
On fait ça comment?
1. D'abord, en prenant la décision de s'en occuper au lieu de chiâler et de faire pitié comme j'aime bien le caricaturer dans ma conférence Rire et grandir
2. Ensuite en décidant d'aller à l'intérieur de soi pour faire un peu d'introspection sur notre mode de fonctionnement, sur nos propres mémoires émotives.
3. Se donner les outils et surtout les mettre en pratique au quotidien pour se DÉCONDITIONNER et se REPROGRAMMER l'usine à Amour!
Une espèce de RE-STRUCTURATION d'entreprise!
Et quels sont ces outils?
Il y en a plusieurs. J'aimerais, cette semaine, vous partager un livre qui me fait avancer à pas de géants depuis quelques mois sur cette notion d'interdépendance entre chacun et chacune d'entre nous. Le titre: Zéro Limite, de Joe Vitale
Cette méthode, est une actualisation de l'ancien système hawaïen Ho'oponopono.
Oui je sais, ça a l'air NONO:-))) J'ai de la misère à retenir toujours ce mot aussi!:-))
Mais ça marche!
Une amie, me confiait le week end dernier, un petit texte tout simple à répéter tout haut lorsque l'on est en difficulté...
Je vous l'offre, en pièce attachée, en guise de cadeau de St-Valentin!
Imprimez-le et gardez-le bien à vue pour la pratique au quotidien! Ça marche!
Les photos suivantes peuvent également être supprimées de Blogger. Elles seront alors supprimées de tous les messages où elles apparaissent. Veuillez vérifier tous les fichiers que vous souhaitez supprimer.
(Leur suppression peut prendre jusqu'à 24 heures.)
J'aimerais vous amener dans la zone où l'on a de la difficulté à aimer.
La zone à l'intérieur de nous qu'il nous faut regarder, accueillir et nettoyer pour faire expansionner notre capacité à aimer.
Cette zone qui est rempli de chagrin, de peine, de déceptions et de désillusions face à l'amour. Cette zone, porteuse de mémoires émotives, qui nous conditionnent à répéter sans cesse et sans cesse les mêmes erreurs de parcours si nous ne la soignons pas convenablement. La zone en nous qui demande à être aimée et chouchoutée! On a souvent l'impression, à tort, que seul un homme ou une femme peut nous apporter de l'Amour.
Oui j'ai bien dit "À TORT".
Alors qu'il y a une place à l'intérieur de nous qui est une véritable usine à fabriquer de l'Amour, sans limite aucune! Une véritable usine qui travaille 24 heures sur 24 gratis!:-))
Mais comment faire pour y être employé?
Première erreur: vous n'y êtes pas employé...Vous êtes le patron! C'est vous qui décidez de la grosseur de production que vous désirez mettre dans votre usine à Amour! Chouette non?
Mais c'est pas parce que vous êtes patron que vous dirigez tout à votre guise sans consulter personne...
Dans cette aventure de développement d'usine à Amour, vous arriverez à un point où vous réaliserez que nous sommes tous inter-reliés et très dépendants les uns des autres . J'ai bien dit très DÉPENDANTS et RESPONSABLES les uns des autres car je suis bien tannée que l'on traite la dépendance comme une maladie en ce bas monde... Dans ce monde où l'individualisme est la norme pour la plupart d'entre nous, et j'en suis, il y a un moment où l'on doit réaliser que la pendule doit revenir en son centre.
Voyons voir si nous sommes si indépendants que cela...
Prenez simplement un verre d'eau que vous vous apprêtez à boire en pleine canicule et posez-vous les questions suivantes:
Qui a fabriqué ce verre?
Qui a fabriqué l'usine où l'on a fabriqué ce verre?
Qui a fabriqué les bureaux, les machines et toutes les composantes de cette usine?
Qui a livré ce verre dans un magasin?
Qui a fabriqué le véhicule qui a transporté ce verre en magasin?
Qui a produit l'essence et extrait le pétrole qui a permis à ce véhicule de livrer votre verre en magasin.
Qui tient ce magasin etc....
Il y a au moins 1000 personnes qui ont contribué à amener ce verre d'eau à vos lèvres en cette journée de canicule... Et on se croit indépendants... Faites-moi rire!:-))
Sans l'apport et le travail de tous ces gens, nous serions à sec en pleine canicule!
Nous sommes donc beaucoup plus dépendants que nous ne le croyons et il est temps de le réaliser!
Pareil pour l'amour à deux! Chaque personne qui entre dans notre vie est une opportunité de se regarder, de s'accueillir, de se chouchouter l'un et l'autre bien sûr, mais aussi soi-même face à soi-même car si l'autre vient qu'à partir, nous aurons quand même découvert, apprivoisé et aimé une partie supplémentaire de notre Être. Et l'autre ne peut pas partir avec cela car c'est à l'intérieur de nous! L'autre nous permet simplement de mettre à jour la ressemblance, le rêve commun que l'on partage et qui demandait à être considéré et actualisé dans notre propre vie.
Si l'autre est là pour continuer, tant mieux! Mais s'il part, nous sommes la personne responsable de soigner, nourrir la partie de soi ou le rêve mis à jour. Et c'est là qu'il est important de développer notre propre usine à Amour!
On fait ça comment?
1. D'abord, en prenant la décision de s'en occuper au lieu de chiâler et de faire pitié comme j'aime bien le caricaturer dans ma conférence Rire et grandir
2. Ensuite en décidant d'aller à l'intérieur de soi pour faire un peu d'introspection sur notre mode de fonctionnement, sur nos propres mémoires émotives.
3. Se donner les outils et surtout les mettre en pratique au quotidien pour se DÉCONDITIONNER et se REPROGRAMMER l'usine à Amour!
Une espèce de RE-STRUCTURATION d'entreprise!
Et quels sont ces outils?
Il y en a plusieurs. J'aimerais, cette semaine, vous partager un livre qui me fait avancer à pas de géants depuis quelques mois sur cette notion d'interdépendance entre chacun et chacune d'entre nous. Le titre: Zéro Limite, de Joe Vitale
Cette méthode, est une actualisation de l'ancien système hawaïen Ho'oponopono.
Oui je sais, ça a l'air NONO:-))) J'ai de la misère à retenir toujours ce mot aussi!:-))
Mais ça marche!
Une amie, me confiait le week end dernier, un petit texte tout simple à répéter tout haut lorsque l'on est en difficulté...
Je vous l'offre, en pièce attachée, en guise de cadeau de St-Valentin!
Imprimez-le et gardez-le bien à vue pour la pratique au quotidien! Ça marche!
Tout ce qui est à l'origine et relié à......
(Nommer la difficulté avec laquelle vous êtes au prise)
est libéré, nettoyé et initié à l'Amour!
(Nommer la difficulté avec laquelle vous êtes au prise)
est libéré, nettoyé et initié à l'Amour!
Heureuse St-Valentin!
(Leur suppression peut prendre jusqu'à 24 heures.)
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